L'été 91, nous étions partis 8/10 jours avec
François, Jacqueline et un copain (Alain) en Savoie à
Tignes (Altitude de 1440 à 3747 m), connu pour ses
activités sportives de haute-montagne. François allait
avoir 30 ans en Août.
Une de nos premières excursions fut la descente en VTT du Col du Petit-Saint-Bernard, qui sépare la Tarentaise (Vallée de l'Isère) de la Vallée d'Aoste, d'abord dans les alpages, puis ensuite dans la forêt, vers Bourg-Saint-Maurice, environ 15 kms et 1500 m plus bas. Nous avions pris un mono comme guide et pour assurer la logistique (montée en véhicule).
Puis nous avions eu connaissance d'une sorte de salon auto/camion à Val d'Isère. J'étais moi-même encore en semi-activité et nous avions des amis qui exposaient. A travers la lande, il y avait environ 5/6 kms de Tignes à Val d'Isère. Nous l'avons fait tranquillement à pied. Arrivés là, il y avait un camion-grue qui montait une mini-plate-forme à 50/55 m de hauteur pour un Saut à l'Élastique (benjy jump). Immédiatement, Jacqueline et François ont décidé de tenter l'aventure. Impossible de les en dissuader.
Dans la vallée de l'Isère, il y a Bourg-Saint-Maurice, où nous avons trouvé un Club qui organisait des descentes de l'Isère en HydroSpeed, et de la Dora Balté (Italie) en Rafting. Nous y avons consacré deux journées.
Sur la Haute-Isère, une grande portion de 25 kms a été nettoyée de tout ce qui pouvait nuire aux nageurs, qui avait été jeté par les riverains, véhicules, vélos, engins de toutes sortes et de tous calibres. Cette partie de la rivière est torrentueuse, semée de blocs rocheux et gros cailloux, heureusement érodés par le courant, avec des accélérations dues à des déclivités plus fortes. Les nageurs sont harnachés de protections ad-hoc, casqués et palmés pour pouvoir se diriger dans le courant et ils s'appuient sur une semi-luge en plastic qui leur sert de tremplin pour franchir les blocs rocheux inévitables et amortir les chocs et les coups. Une belle rigolade.
Le lendemain, un bus nous a transporté en Italie dans le Val d'Aoste, au départ de Courmayeur, pour une descente en rafting jusqu'à Aoste, 30 kms environ. La Dora Baltée est un affluent du Pô, la première partie dans les gorges est étroite et les flots tumultueux. Avant l'arrivée à Aoste, la rivière s'élargit considérablement, le flot se calme. Nous étions 6/8 rameurs, moitié tribord-moitié bâbord, avec pour seule fonction de pagayer pour donner le mouvement. Au milieu de nous, il y avait un rameur avec de gros bras, chargé de diriger le bateau, et de commander de la voix les rameurs.
Nous avons aussi fait un tour en Hélico, avec descentes vertigineuses dans les vallons, suivies de remontées aussi spectaculaires. Pas de photos, nous n'étions pas équipés ce jour-là.
Une de nos premières excursions fut la descente en VTT du Col du Petit-Saint-Bernard, qui sépare la Tarentaise (Vallée de l'Isère) de la Vallée d'Aoste, d'abord dans les alpages, puis ensuite dans la forêt, vers Bourg-Saint-Maurice, environ 15 kms et 1500 m plus bas. Nous avions pris un mono comme guide et pour assurer la logistique (montée en véhicule).
Puis nous avions eu connaissance d'une sorte de salon auto/camion à Val d'Isère. J'étais moi-même encore en semi-activité et nous avions des amis qui exposaient. A travers la lande, il y avait environ 5/6 kms de Tignes à Val d'Isère. Nous l'avons fait tranquillement à pied. Arrivés là, il y avait un camion-grue qui montait une mini-plate-forme à 50/55 m de hauteur pour un Saut à l'Élastique (benjy jump). Immédiatement, Jacqueline et François ont décidé de tenter l'aventure. Impossible de les en dissuader.
Dans la vallée de l'Isère, il y a Bourg-Saint-Maurice, où nous avons trouvé un Club qui organisait des descentes de l'Isère en HydroSpeed, et de la Dora Balté (Italie) en Rafting. Nous y avons consacré deux journées.
Sur la Haute-Isère, une grande portion de 25 kms a été nettoyée de tout ce qui pouvait nuire aux nageurs, qui avait été jeté par les riverains, véhicules, vélos, engins de toutes sortes et de tous calibres. Cette partie de la rivière est torrentueuse, semée de blocs rocheux et gros cailloux, heureusement érodés par le courant, avec des accélérations dues à des déclivités plus fortes. Les nageurs sont harnachés de protections ad-hoc, casqués et palmés pour pouvoir se diriger dans le courant et ils s'appuient sur une semi-luge en plastic qui leur sert de tremplin pour franchir les blocs rocheux inévitables et amortir les chocs et les coups. Une belle rigolade.
Le lendemain, un bus nous a transporté en Italie dans le Val d'Aoste, au départ de Courmayeur, pour une descente en rafting jusqu'à Aoste, 30 kms environ. La Dora Baltée est un affluent du Pô, la première partie dans les gorges est étroite et les flots tumultueux. Avant l'arrivée à Aoste, la rivière s'élargit considérablement, le flot se calme. Nous étions 6/8 rameurs, moitié tribord-moitié bâbord, avec pour seule fonction de pagayer pour donner le mouvement. Au milieu de nous, il y avait un rameur avec de gros bras, chargé de diriger le bateau, et de commander de la voix les rameurs.
Nous avons aussi fait un tour en Hélico, avec descentes vertigineuses dans les vallons, suivies de remontées aussi spectaculaires. Pas de photos, nous n'étions pas équipés ce jour-là.
Clic sur l'image
